Alexandra Carron, les Herbes Folles envahissent poétiquement le jardin
Pour marquer ce printemps 2013, la céramiste parisienne Alexandra Carron dévoile des inspirations à la fois originales et poétiques pour habiller le jardin. Les Herbes Folles, un festival de couleurs et de matières sont à découvrir au nouvel atelier-showroom de l’artiste.
Les Herbes Folles, voir la nature avec un nouveau regard
Alexandra Carron met à l’honneur une nature exubérante, où les herbes se colorent de toutes les manières possibles. Ces Herbes Folles atteignent plus de 3 mètres de hauteur et font de l’Homme un insecte étonné par la grandeur. Des éléments de faïence émaillés et modelés à la main rendent hommage à la nature. À chaque brin correspond une histoire, entre les papillons qui rêvent de jasmin ou les cerises picorées par les oiseaux. À replanter dans son jardin, dans une serre ou sur la terrasse, les Herbes Folles d’Alexandra Carron sont vendues en édition limitée.
Un atelier-showroom à explorer
Passionnée de couleurs et de matières, Alexandra Carron donne vie à ses créations d’une manière subtilement poétique. Dans son atelier à Paris, des milliers de tesselles émaillées ravissent tant les yeux que l’âme. L’artiste utilise plus de 1000 teintes et textures qui ont chacune une histoire à raconter. L’atelier-showroom ouvert par Shimera Mosaic Studio dans le IXe arrondissement à Paris invite les amateurs de cet univers à des moments de découverte et d’apprentissage. Alexandra Carron a le don de transformer les accessoires de décor habituel en de véritables oeuvres d’art. Elle partage ses aspirations à travers des expositions et des cours.
Alexandra Carron, un voyage artistique
Adepte de voyage et férue de musique, Alexandra Carron rejoint l’Afrique du Sud après avoir été mosaïste pendant 10 ans. Séduite par l’art de la création, elle décide de créer sa propre matière : des tesselles et des émaux qu’elle assemblera alors selon ses envies et au gré de ses inspirations. Les paysages offerts par la nature et la curiosité suscitée par les insectes l’invitent ensuite à lancer le projet des Herbes Folles. Une collection qui, remarquée par la Galerie Maison Parisienne, compte aujourd’hui une centaine de pièces.